• l’un porte sur le maintien du droit à la retraite sans décote à 65
ans, à titre transitoire (pour seulement 5 ans) pour les mères de
famille d’au moins 3 enfants, nées entre 1951 et 1955, ayant interrompu
leur activité professionnelle pendant au moins un an (environ 25 000
mères concernées par an) ;
• l’autre prévoit le maintien pour les parents d’enfants lourdement handicapés du droit à la retraite sans décote à 65 ans.
Ces annonces ne sont certainement pas de nature à modifier le caractère injuste et inefficace de la loi sur les retraites dénoncé par une majorité de salariés et toutes les organisations syndicales.
Parallèlement à ces annonces, la CGT découvre que la Commission des Affaires sociales du Sénat demande « l’examen en priorité » des Articles 5 et 6 de la Loi (ceux portant les 62 et 67 ans) dès ce soir alors que l’examen des premiers articles vient juste de débuter et qu’ils ne sont pas encore adoptés.
La CGT dénonce avec vigueur ce nouveau coup de force impulsé d’évidence par le Président de la République qui, par un vote anticipé, court-circuite les travaux du Sénat et espère désamorcer le processus de mobilisation qui s’amplifie dans la perspective de la journée de grèves et de manifestations du 12 octobre.
Les salariés verront dans cette précipitation les signes d’un gouvernement inquiet et fébrile qui devrait dès maintenant accepter de réelles négociations avec les syndicats sur l’avenir des retraites.
• l’autre prévoit le maintien pour les parents d’enfants lourdement handicapés du droit à la retraite sans décote à 65 ans.
Ces annonces ne sont certainement pas de nature à modifier le caractère injuste et inefficace de la loi sur les retraites dénoncé par une majorité de salariés et toutes les organisations syndicales.
Parallèlement à ces annonces, la CGT découvre que la Commission des Affaires sociales du Sénat demande « l’examen en priorité » des Articles 5 et 6 de la Loi (ceux portant les 62 et 67 ans) dès ce soir alors que l’examen des premiers articles vient juste de débuter et qu’ils ne sont pas encore adoptés.
La CGT dénonce avec vigueur ce nouveau coup de force impulsé d’évidence par le Président de la République qui, par un vote anticipé, court-circuite les travaux du Sénat et espère désamorcer le processus de mobilisation qui s’amplifie dans la perspective de la journée de grèves et de manifestations du 12 octobre.
Les salariés verront dans cette précipitation les signes d’un gouvernement inquiet et fébrile qui devrait dès maintenant accepter de réelles négociations avec les syndicats sur l’avenir des retraites.
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